Dans un pays pas très lontain, il semble que les juges portent leur perruque de travers, tellement la justice qu'ils rendent est... injuste et disproportionnée! En effet, condamner à seize mois de prison ferme un adolescent qui a lancé un oeuf, à dix-huit mois un retraité qui a insulté des agents, c'est un retour à l'arbitraire, aux excès et à la violence du Moyen Age! Ce chemin mène droit à la prison à vie pour le vol de quelques pommes!

Mais pas étonnant, cela est typique des autorités faibles. Ces dernières, quand elles sont confrontées à deux groupes ennemis qui causent du désordre, tapent sur le groupe le plus malléable, le plus soumis, le moins susceptible de se rebeller, laissant l'autre libre d'agir à sa guise.

C'est cela le fond du problème, et pas seulement l'idéologie immigrationniste, comme on se plaît trop à le croire. En somme, on a un merveilleux exemple de l'adage "fort avec les faibles, faible avec les forts". Jusqu'à ce que les forts commettent l'assassinat de trop! Et alors là, je ne conseille qu'une chose aux autorités indignes et tyranniques, la fuite!

(Jacques Davier, Août 2024)

La fameuse scène blasphémant la Cène, qui a choqué dans le monde entier, constitue la provocation de trop! Le microcosme germanopratin qui s'est permis cela, avec l'aval des autorités, est bien le seul à rire. Je parle des auteurs et de leurs affidés dans les médias verdogauchistes! Mal lui en a pris, toutefois, car sa transgression à deux balles a plombé la réputation de la France dans le monde entier!

Cette Cène, de plus, s'inscrit dans une succession de scènes d'un mauvais goût achevé, scènes pouvant faire penser à une promotion délibérée du satanisme et de la débauche, l'un n'allant d'ailleurs pas sans l'autre. Quelle honte! Qu'est-ce qui se passe en France?

La grande déception, à vrai dire, ne vient pas de ces vaillants sans-culottes qui n'hésitent pas à s'en prendre au Christ, mais qui n'ont pas daigné s'attaquer à d'autres religions. La trouille, peut-être? Non, la déception vient de la hiérarchie catholique, en particulier de son sommet, qui est s'est contenté de réagir très très mollement. Le Pape n'a même pas daigné s'exprimer! Désolant, pour le moins! Se désintéresserait-il de ce qui touche les fidèles? Les évêques suisses, eux-aussi, n'ont presque pas pipé mot!

Il existe en effet un communiqué du Saint-Siège, repris sans autres commentaires par la Conférence des évêques de Suisse. Or, là où il eût fallu condamner et demander des excuses et une rétractation, on se contente de "déplorer". Cela n'est pas suffisant. Il s'agit d'un grave blasphème, je le rappelle!

Si cela continue, et que mon Eglise persiste à vouloir, sinon adhérer, du moins ne pas clairement s'opposer à la décadence du siècle, je finirai sedevacantiste!

A bon entendeur!

Jacques Davier (Août 2024)

Sans la moindre honte, les ultralibéraux sansfrontiéristes s'en prennent aux victimes de leur politique insensée! Aujourd'hui, les paysans! En effet, à cause de la concurrence féroce de l'étranger et de la politique strangulatoire verdogauchistolibérale de la Confédération, les paysans sont pris à la gorge!

Ils ne peuvent plus faire face, ils s' apauvrissent, et n'ont d'autre choix que de recourir au travail non déclaré. Pas tous, certes, mais le phénomène existe. Cela signifie employés mal payés et assurances sociales et impôts floués. Mais ils ont une excuse, ces paysans, tout le système mondialoïmmigrationniste pousse à cela! C'est même pour cela, profiter d'une main d'oeuvre malléable et corvéable à merci, qu'il a été instauré! Tous les secteurs sont bien sûr touchés!

Alors, un peu de décence et de cohérence, svp! On ne peut pas abattre la digue et se plaindre ensuite que l'eau afflue! Aidez les paysans, respectez-les, abaissez leurs charges, améliorez leurs revenus, et ils n'auront plus recours au travail non déclaré! Surtout, remettez les frontières pour les produits médiocres et ne répondant pas aux exigences suisses de qualité, par définition moins chers et constituant une concurrence déloyale!

Enfin, chers concitoyens, veuillez accepter de payer un peu plus cher de bons produits locaux, et soutenez ainsi nos paysans, qui en ont bien besoin!

Jacques Davier (Août 2024)