Encore des mensonges climatistes!
La doxa climatiste, qui exerce un règne absolu sur tous les médias de large autoroute, ne cesse de mentir. Mieux, elle est l'essence même du mensonge. Je précise que je ne parle pas ici des études scientifiques qui, si elles ne sont pas toutes d'accord entre elles, sont en général honnêtes et de bonne tenue, malgré les canards boiteux, comme Mann et sa courbe en forme de crosse de hockey!
Bref. L'un de ces mensonges, qui a la vie dure, prétend que les catastrophes naturelles (toutes, sans exception) seraient plus fréquentes et plus violentes, et ce, bien sûr, à cause du réchauffement anthropique. Cela est évidemment faux, comme le prouve une étude de l'Association des climato-réalistes, publiée sur son site web, intitulée Catastrophes naturelles, état des lieux mondial (29 avril 2025).
En voici deux extraits :
"Dans les analyses historiques des catastrophes naturelles, il convient de conserver à l’esprit quelques évolutions d’ordre général. Entre 2000 et 2024, la population mondiale est passée de 6 milliards à 8 milliards d’habitants, dont la plus grande part dans les pays dits « en développement ». La croissance a concerné notamment les périphéries des villes. Il en est résulté parfois un remplissage progressif de zones à risques : vallées inondables, pentes instables, milieux forestiers, etc., sans parler de l’imperméabilisation et de la surcharge des sols. Malgré cela, au vu des graphiques précédents, rien ne permet d’affirmer que les catastrophes naturelles deviennent de plus en plus fréquentes ni de plus en plus graves comme on le prétend généralement. Aucune tendance n’est discernable sur ce quart de siècle."
Et :
"Les catastrophes ont fait, font et feront partie du quotidien de l’humanité, et ceci depuis la nuit des temps. Leur distribution aléatoire échappe à la volonté humaine. Les efforts doivent tendre non à une impossible élimination mais surtout à la prévention et à l’atténuation des dégâts et des souffrances. Le coût des dispositions préventives sera d’autant mieux toléré que l’argent public sera consacré à des dépenses utiles et non à des lubies « climatiques ». Les envolées apocalyptiques et les dépenses inconsidérées sont inopérantes et même nuisibles."
J'ajouterai, pour la bonne bouche, qu'on pourrait aussi parler des ours polaires, qui se portent comme un charme, ou de la montée des eaux, qui est minimale et n'a rien d'inquiétant (de plus, ce sont les îles coralliennes qui s'enfoncent), ou encore des glaciers, qui ont été bien plus rachitiques par le passé que de nos jours! Et caetera!
Haut les coeurs! Foin de l'écoanxiété et de l'angoisse climatique! Bienvenue à la joie de vivre! N'écoutez plus les oiseaux de mauvais augure, mais les porteurs de bonnes nouvelles, et ils sont nombreux!
Bonne lecture!
Jacques Davier (Avril 2025)