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Le blog de Jacques Davier - Page 125

  • Tamalpais High (at about 3) (Version deux)

    Pour David Crosby, et pour son sublime "Cowboy Movie", pièce maîtresse de l'album If I could only remember my name (1971)

    Note. Mes poèmes sont souvent réécrits, étant donné que j'en suis rarement satisfait. Si les changements apparaissent comme des améliorations, et que j'ai cette (plutôt rare) impression du travail bien fait, j'écrase la version précédente. Si je n'en suis pas certain, si j'ai des doutes, je la conserve, comme c'est le cas ici.

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  • Faites la mobilité, pas la guerre!

    A l'heure où Genève s'étripe à nouveau au sujet de la mobilité et des modes de transport, où on disserte sur cette "guerre" de la circulation et son éventuelle "pacification", bref, où Genève persiste dans ses genevoiseries stériles, car tout continuera peu ou prou comme maintenant, seul moyen de faire cohabiter des exigences inconciliables (style vélo contre bagnole), je me propose, en toute liberté et simplicité, sans courtiser telle ou telle chapelle, comme le citoyen, membre du souverain, que je suis, d'énoncer, en onze points, quelques vérités que je crois bien senties sur la mobilité en général, et sur la mobilité genevoise en particulier! Je précise que ces vérités ne sortent d'aucune étude d'expert, ce qui, je crois, est une qualité...

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  • Ten Seconds of Forever

    Hawkwind, archétype de groupe de rock "indépendant" anglais, toujours actif d'ailleurs sous la houlette du fondateur Dave Brock, était connu, à ses débuts dans les années septante, pour jouer une musique mêlant rock et musique électronique à une thématique souvent inspirée par la science-fiction, le "space rock". Le quatrième album du groupe, Space Ritual, joue à fond cette carte du space-rock, avec des nappes de synthés accompagnant des morceaux chantés et de longs instrumentaux, le tout entrecoupé de poèmes récités par Robert Calvert (qui par ailleurs partage les lead vocals avec Dave Brock).

    L'album fut enregistré en public lors de concerts à Londres et Liverpool, en 1972. Même s'il est considéré comme un des meilleurs albums live du rock, il ne rend pas tout à fait justice aux spectacles dont il est issu, qui étaient conçus comme une expérience audiovisuelle totale, mettant en scène, avec force musique, poésie, danseurs, danseuses et lightshow, des navigateurs interstellaires de retour sur Terre après avoir voyagé à travers l'espace et le temps. Le programme distribué à chaque spectateur développait ce thème des voyageurs spatiaux, et le mettait en lien avec le concept de la musique des sphères.

    Le poème "Ten Seconds of Forever", dû à la plume de Robert Calvert (personnage important du rock anglais, auquel je consacrerai un billet prochainement), nous met dans l'ambiance!

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