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réchauffement climatique

  • Enfin, la vérité sur le climat se fait jour!

    Une fois (de plus) n'est pas coutume, je soumets à votre jugeote un article de l'Association des climato-réalistes, qui est un compte-rendu du "Rapport Wright" (Juillet 2025).

    Ce rapport, dont les cinq auteurs sont des pointures de la climatologie (voir ci-dessous leurs noms) remet complètement en cause la doxa climatiste giécienne, et nous donne (enfin!) de façon claire et concise la vérité scientifique sur le réchauffement climatique!

    Le rapport concerne les Etats-Unis, mais il peut sans autre être étendu au monde entier, puisqu'il a pour thématique les gaz à effet de serre! 

    Je cite ici le début du texte, dont vous trouverez l'intégralité en suivant le lien ci-dessus :

    "Un rapport sur le climat révolte la communauté scientifique américaine orthodoxe

    "Chris Wright, secrétaire à l’Énergie des États-Unis a commandé un nouveau rapport sur « les impacts des émissions de gaz à effet de serre sur le climat des États-Unis ».

    "La rédaction du rapport a été confiée à un groupe de travail dont les membres sont des spécialistes du climat réputés « climatosceptiques ».

    "Il s’agit des personnalités suivantes :

    • John Christy, scientifique atmosphérique à l’université d’Alabama à Huntsville ;
    • Judith Curry, climatologue à l’Institut de technologie de Géorgie à Atlanta ;
    • Steven Koonin, physicien et chercheur senior à la Hoover Institution de l’université de Stanford en Californie ;
    • Ross McKitrick, économiste à l’université de Guelph en Ontario, Canada ;
    • Roy Spencer, météorologue à l’université d’Alabama .

    "Ces cinq scientifiques ont livré leur rapport, un document de 150 pages, le 29 juillet (La traduction en français de ce rapport par Camille Veyres peut être téléchargée ici).

    "Contenu du rapport

    "Le rapport a été publié sur le site de la DoE (US Department of Energy) qui en rappelle les objectifs :

    • Examiner les certitudes et les incertitudes scientifiques sur la manière dont les émissions anthropiques de CO2 et d’autres gaz à effet de serre ont affecté ou affecteront le climat du pays, les événements météorologiques extrêmes et les mesures du bien-être sociétal ;
    • Évaluer les impacts à court terme des concentrations élevées de CO2 , notamment la croissance accrue des plantes et la réduction de l’alcalinité des océans ;
    • Évaluer les données et les projections concernant les impacts à long terme des concentrations élevées de CO2 , y compris les estimations du réchauffement futur.

    "Les principales conclusions du rapport sont les suivantes :

    • Les allégations d’une augmentation de la fréquence ou de l’intensité des ouragans, des tornades, des inondations et des sécheresses ne sont pas étayées par les données historiques américaines ;
    • Le réchauffement climatique induit par le CO2 semble être moins dommageable économiquement qu’on le croit généralement, et que des politiques d’atténuation agressives pourraient s’avérer plus néfastes que bénéfiques ;
    • Les mesures politiques américaines auront des impacts directs indétectables sur le climat mondial et ne produiraient leurs effets qu’avec un retard considérable.

    "Les experts contestent que le dioxyde de carbone, nutriment des plantes, soit un polluant. Ils affirment que la réduction des émissions de gaz à effet de serre ne peut pas entraîner de réductions significatives des températures mondiales futures. De plus, les coûts de ces politiques dépasseraient de loin leurs avantages."

    Voilà! Bonne lecture!

     

    Jacques Davier (Octobre 2025)

  • Mensonges climatiques (4)!

    Souvenons-nous. L'an dernier, le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, avait annoncé la venue de l'ère de "l'ébullition"!
     
    Or, voilà que maintenant, alors que «la pollution par les combustibles fossiles provoque un chaos climatique sans précédent», notre planète est «au bord du gouffre», alerte-t-il!
     
    En effet, argumente notre spécialiste ès catastrophes, avec les records de chaleur battus des océans, l'élévation du niveau de la mer, le recul des glaciers, et caetera, pouvons-nous ajouter, l'année 2023 a conclu la décennie la plus chaude jamais enregistrée, avec une température moyenne à la surface du globe de 1,45 °C au-dessus du niveau de référence de l’ère préindustrielle, rapport de l'OMM à l'appui!
     
    Mensonge! Car on ne peut pas comparer avec une précision au centième de degré la température actuelle avec celle de l'ère préindustrielle, puisque les températures atmosphériques n'ont été mesurées qu'à partir de 1850, et encore! La précision scientifique n'étant atteinte que depuis 1979, avec les mesures par satellite! Il ne peut s'agir que d'une estimation.
     
    Debriefing. L'ère préindustrielle, cela signifie avant 1830-50 grosso modo, et cela signifie donc pas de mesures de température, sauf exception. Il est par conséquent impossible d'avancer, sans marge d'erreur, une différence de 1,45 degré entre aujourd'hui et quelque période que ce soit précédant le XIXème siècle!
     
    Certes, les historiens du climat on trouvé des solutions pour évaluer le climat des siècles passés (dendrochronologie, dates des vendanges, carottages des glaces ou des tourbières, etc.), mais elles ne permettent pas de donner des chiffres de température autres que des approximations, dont les marges d'erreur dépassent le dixième de degré!
     
    Donc, s'il a fait chaud en 2023, on ne peut affirmer qu'il n'a jamais fait aussi chaud sur Terre, ce qu'insinue M. Guterres! En réalité, il a fait déjà aussi chaud à deux reprises récemment, en 2003 et en 2015-2016!

    Il s’agit par ailleurs de la décennie (2014-2023) la plus chaude jamais observée, dépassant la moyenne 1850‑1900 de 1,20°C, renchérit notre oiseau de mauvais augure!

    A nouveau, mensonge! Christian Gérondeau reproduit en 2023 une courbe de l"évolution de la température terrestre depuis 7 ans". Découlant des observations du Hadley Center britannique, cette courbe ne signale aucune tendance à la hausse de la température depuis 2015. Bien mieux, "les relevés marquent plutôt une légère tendance à la baisse de la température depuis 7 ans (...)" (C. Gérondeau, Le Climat par les chiffres. Sortir de la science-fiction du GIEC, Paris, L'Harmattan, 2023, Fig. 4).

    Ere de l'ébullition, au bord du gouffre? Parole, parole, parole!

     

    Jacques Davier (Mars 2023)

  • Mensonges climatiques (1)

    En ces temps de rentrée, je souhaite me concentrer, non sur les annonces fausses et anxiogènes du climatisme ambiant, comme ces "dômes de chaleur" qui n'ont rien de scientifique, mais qui ont justement pour but d'effrayer le citoyen lambda, avec leur évocation de ciel en flammes, de voûte de feu, de plafond oppressant sous lequel on brûle et se consume, de bulle de magma, d'espace infernal confiné, de lieu étouffant dont on ne peut s'échapper, mais sur la dénonciation du mensonge climatique! C'est pourquoi, pour notre part, entre gens sensés, on se contentera de l'expression "chaleur élevée", qui décrit fort bien la situation sans sombrer dans le sensationnalisme extrême!

    Les "vérités" actuelles sur le "dérèglement climatique" ne sont pas des vérités parce qu'elles sont vraies (elles sont scientifiquement fausses), mais parce qu'elles sont inlassablement rabâchées, partout et tout le temps! C'est l'effet de vérité induit par la répétition!

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