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L'éolien et le solaire ont d'ores et déjà perdu la partie!

Cela fait des lustres qu'on nous bassine avec les "énergies vertes" que sont (seraient?) l'éolien et le solaire. Elles nous permettront, nous dit-on, de "décarboner" notre énergie fissa fissa, avec pour conséquence d'influer de manière radicale sur le climat, enfin débarrassé du diabolique CO2, pour qu'il soit à nouveau "bien réglé"! Et bien sûr gentil avec nous! Or, il y a juste un petit problème, c'est que le climat n'a jamais été "réglé", il a toujours varié, vu qu'il est un système complexe, chaotique et donc imprévisible. Le changement, et non le dérèglement, climatique est la règle, n'en déplaise au GIEC! C'est d'ailleurs dans un contexte météorologique (et à fortiori climatique) qu'a été inventé le concept-clé de la théorie du chaos, à savoir l'effet papillon, qui stipule l'imprédictibilité dans les systèmes complexes.

Bref, passons. Je me contenterai aujourd'hui de vous suggérer la lecture de la conclusion d'un très intéressant article paru dans la page web des Climato-réalistes, article qui montre que jamais nous ne pourrons nous passer d'énergie carbonée, au contraire des promesse des Pythies de l'"énergie verte"! Jamais, jamais, jamais, ou alors il faudra accepter de sombrer à nouveau dans la pauvreté, la maladie, la souffrance et la mort prématurée, ce que l'Occident n'a que trop connu avant la Révolution industrielle!

Source : Climato-réalistes, Eléctricité, état des lieux selon ex-BP  

"Conclusion.

Parmi les inégalités et les carences qui affectent la population mondiale, l’accès à l’électricité est un facteur discriminant fondamental : il détermine la qualité de vie, la santé, l’instruction et l’information, et en fin de compte le désir de vivre et de rester au pays. Comme l’électricité est presque toujours produite et consommée sur place, tous les États du monde aspirent à produire pour leurs besoins propres une électricité adéquate, constamment disponible et bon marché. Les graphiques précédents suffisent à se convaincre que cette aspiration ne peut être satisfaite dans un futur prévisible que par une utilisation massive des énergies fossiles. Les tentatives des pays occidentaux de faire obstacle à ce développement dans le reste du monde sont – littéralement – inqualifiables. Ils n’y parviendront d’ailleurs pas : dans ce secteur comme dans quelques autres, l’Occident est en train de perdre la main. Au surplus, les séries historiques des données permettent de prendre la mesure des inerties considérables qui commandent l’évolution des consommations et des productions énergétiques et électriques : il est vain d’espérer des ruptures brutales dans ces évolutions multi-décennales, comme le font croire certains exercices académiques d’anticipation, hasardeux et périmés dès leur publication."

Bonne lecture!

 

Jacques Davier (Juillet 2023)

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