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poème - Page 23

  • Café des Lilas

    Je me rappelle une époque heureuse, dans le quartier de la Servette!

    There's no more time for us, nothing is there for us to share but yesterday. Tous ces moments, perdus dans  l'enchantement, qui ne reviendront jamais. (Roxy Music, "A Song For Europe", 1973).

    Un petit poème pour Noël, un poème d'amour et de nostalgie, qui est aussi de l'amour [Ce poème est une republication].

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  • Palindrome

    "Nous tournons en rond dans la nuit et sommes consumés par le feu." Ce palindrome latin a servi de titre à un film de Guy Debord, tourné en 1978, qui parle de la société de consommation capitaliste, et de l'aliénation qui en est la conséquence. Un livre, tiré du film, a été publié en 1990, avec le même titre.

    L'origine de cette locution est incertaine, elle a parfois été attribuée à Virgile, mais cela est douteux . On pense aux papillons de nuit attirés par la flamme de la bougie et qui vont s'y brûler, mais on y a aussi vu un sens ésotérique. (Source : Wikipedia)

    Pour ma part, je dirais qu'il s'agit, plus largement, d'une allégorie de la condition humaine...

    Me rendant chez mon libraire d'occasion préféré afin d'y faire quelques emplettes, je lui demandai dans quel rayon pouvait se trouver Debord, philosophie, sociologie, cinéma? Il me répondit : "Rayon alcoolos"! Très drôle, mais guère charitable! Quoique bien vu quand même : "...consumés par le feu"...

    NB : la locution complète, non utilisée par Debord, ajouterait "ecce" entre "nocte" et "et" (Source : Wikipedia).

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  • Orient Express

    A l'heure où tout Genève s'extasie devant le CEVA, qui n'est au fond qu'un ridicule tortillard de banlieue, pas même un RER, je parle, moi, du seul Vrai Train, qui n'est réel que dans le souvenir, le rêve et l'imaginaire! Ce train-là, avec T majuscule, est celui que je prends tous les jours... et qui m'emmène à travers des mondes et des paysages inouïs, des latitudes et des longitudes mystérieuses et inconnues!

    Car ce n'est en tout cas pas un train Saint-Maurice-Annemasse (c'est un gag, au fait?) qui me fera rêver! Là, pour l'imaginaire, on repassera!

    "Réel est éphémère, éternel est le Rêve", écrit le poète oulipien Olivier Salon, dans S'exercer. Et je suis son féal.

    [Ce poème est une republication]

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